On aurait tendance à répondre : quand vient l’inspiration. Soit. D’autant que j’ai pour habitude de ne pas la forcer, et que je peux rester des mois sans écrire, malgré la citation de Sartre qui depuis un an orne mon bras (« J’écris toujours. Que faire d’autre ? Nulla dies sine linea »).
Pourtant, si comme moi vous avez vécu l’incroyable excitation pré-publication, je conseillerais fortement de profiter de cette phase ascendante durant laquelle le cerveau se transforme en véritable éponge, pour chopper au vol toutes les idées qui viennent et les coucher sur papier / écran. Parce que c’est à ce moment, lors de cette période grisante d’insomnie et d’accélération des sens, que vous serez sans doute le plus productif. Alors que dans une période « plateau », en pleine déprime post-publication, votre imagination sera à l’arrêt.
D'autant que ce sera aussi l’occasion de pouvoir répondre à la question « et le suivant, c’est pour quand ? » (qu’on ne manquera pas de vous poser), que vous y travaillez. N’oubliez pas la com, toujours la com !
Ainsi, alors qu’en parallèle de mes projets à la #DSI Safran et de la création de mon site web, je finalise la correction du troisième roman (Bien sûr nous eûmes des orages), et nous travaillons avec l’éditeur Popcards Factory sur le résumé, la couverture et la #communication, etc., en vue d’une publication en avril, j’ai fini par me lancer et taper le titre et une première phrase du suivant.
A un de ces jours (peut-être dans cinq ans) pour la #publication.
[Bien sûr nous eûmes des orages, éditions Popcards Factory, Avril 2023]
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