Avec quelques jours de retard, tristesse liée à la disparition de Russel Banks, auteur que j'avais découvert (en littérature puis au cinéma, ou dans l'ordre inverse, je ne sais plus) avec les sublimes De beaux lendemains et Affliction. Il était, avec Paul Auster ou Jim Harrison, l'un des derniers grands romanciers (de l'échec) du rêve américain, et l'un des rares dont chaque nouvel opus était un choc littéraire qui immanquablement vous terrassait.
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